Bessan

Ecoliers et grand public découvrent les richesses du Dolpo, au cœur de l’Himalaya

Le Dolpo est certainement la région la plus difficile d’accès et la plus isolée du Népal, et pour le Haut-Dolpo une des plus isolées de l’Himalaya.

Avec leur film à la fois surprenant, captivant et émouvant, Annick et Jean-Pierre Dessens ont admirablement fait découvrir les richesses de cette région du monde lors de rencontres organisées dernièrement dans la salle du conseil municipal de l’hôtel de ville.

Ecoliers et adultes avaient été invités à ce rendez-vous hors du temps. Car la vie dans cette contrée est bien loin de notre quotidien. Les deux baroudeurs, qui partent à nouveau au Dolpo dans quelques semaines, sont de véritables passionnés.

Le film conduit le public sur les traces de l’ethnologue français Corneille Jest, ayant partagé la vie de ses habitants il y a cinquante ans.

Depuis, rien n’a changé ou presque. Après quarante jours de marche, aucun touriste occidental rencontré, mais de belles rencontres dans ces villages perdus. Dénommé le « pays caché » en raison de son enclavement, le Dolpo regorge de cols d’altitude aux drapeaux à prières multicolores, de lacs aux teintes improbables, de sobres monastères et les sourires d’un peuple fortement imprégné de bouddhisme.

Grâce à la simplicité des intervenants, les classes de cours moyens ont eu la possibilité d’être invité à cette découverte.

Grâce à une vidéo spécifique sur l’école des neiges, les images ont intéressé les enfants, constatant que la vie occidentale était bien plus confortable que celles des enfants du Dolpo.

Après de multiples questions, les petits bessanais ont pu ouvrir leur esprit à d’autres modes de vie.

Les professionnels de santé du territoire se regroupent au sein d’une Cpts

 

Cpts est un sigle que l’on va voir de plus en plus souvent dans l’actualité médicale du territoire Hérault Méditerranée et au-delà. Mais « qu’es aquò » ?

Il s’agit d’une Communauté professionnelle territoriale de santé. Elle vise d’abord à regrouper des professionnels volontaires en association pour réfléchir ensemble à l’amélioration de l’organisation coordonnée des soins sur un territoire.

Ainsi, le Cpts « Agde Littoral » s’est constitué et se développe au fil des mois autour de dix villes et villages : Agde, Bessan, Portiragnes, Vias, Montblanc, Saint-Thibéry, Florensac, Pinet, Pomérols et Marseillan.

La présidente de cette structure est bien connue dans la localité puisqu’il s’agit d’Anne Gavalda, propriétaire de la pharmacie bessanaise « Anne Elixir ».

L’ensemble des acteurs médicaux ont l’ambition de proposer une réponse collective des professionnels de santé aux enjeux liés à l’accès et à la qualité des soins de proximité pour les populations.

Depuis quelques mois, grâce à des réunions tournantes, ils présentent ce dispositif aux élus de chaque commune. Actuellement, diagnostic, organisation et projet sont à l’ordre du jour. A suivre.

 

De sympathiques cadeaux de bienvenue à domicile pour les nouveaux bessanais

Chaque année, comme dans la plupart des villes et villages, les élus municipaux accueillent les nouveaux habitants.

Ce moment de partage et de convivialité demeure aussi un rendez-vous apprécié permettant à ces nouveaux Bessanais de bien mieux découvrir l’histoire, le patrimoine, les services, l’attractivité et la vitalité sociale et économique de la commune.

A Bessan, ce rendez-vous est couplé avec un accueil… à domicile !

Toutes les nouvelles familles, au préalablement inscrites en mairie, ont le plaisir de recevoir un petit colis de présents directement chez eux. La livraison de ces produits du terroir, dont une fameuse bouteille du célèbre rosé local, est effectué par les élues Marie-Laure Lledos et Micheline Izquierdo.

Pour en bénéficier, il suffit simplement de se faire connaître en contactant le service accueil de l’hôtel de ville

au 04 67 00 81 81 ou Micheline Izquierdo, conseillère municipale déléguée à l’accueil des nouveaux habitants,

au 06 11 47 70 19.

La prochaine cérémonie d’accueil réunissant toutes les nouvelles familles se tiendra au début de l’été à la base de loisirs de la Guinguette.

 

Une convention pour mieux contribuer au partage du magnifique hôtel Belpel

  

Depuis quelques années, les efforts en matière de préservation et de promotion du patrimoine s’accentuent au travers d’initiatives diverses unissant la municipalité, la région Occitanie, la communauté d’agglomération Hérault Méditerranée, l’association locale de la Guilde ou encore l’opérateur Urbanis.

Les propriétaires de biens à haute valeur patrimoniale sont invités à s’y associer. Nouvel exemple avec une convention signée, il y a quelques jours, au cœur de l’immeuble dit Belpel.

Implanté face à l’église, l’hôtel Belpel est l’une des demeures privées parmi les plus importantes du centre historique.

Surprenant par sa monumentalité et la composition de sa façade à la forme incurvée, il se démarque des bâtiments modestes à proximité.

Avec l’hôtel de Montalet et l’hôtel de ville, il constitue un témoignage du renouveau architectural à la fin du XVIIIe siècle. D’origine médiévale, cet immeuble aux milles richesses a été construit à partir de 1785 à l’occasion du mariage de Jean-Pierre Belpel.

Les nouveaux propriétaires souhaitent aujourd’hui rénover l’immeuble et l’ouvrir au partage.

C’est ainsi qu’une convention vient d’être signée, afin de faire de ce lieu une étape de la découverte du village lors de visites guidées.

Le maire, Stéphane Pépin-Bonet, ses élus dont Emilie Féliu et Simone Bujaldon, et l’ensemble des partenaires ont récemment visité les lieux avec, au final, la signature de la convention avec des propriétaires heureux de voir l’intérêt de la ville pour le rayonnement de leur bien.

Tolérance zéro pour les dépôts sauvages : l’exemple agathois dupliqué à Bessan

Comme partout en France, la ville de Bessan est touchée par le phénomène des dépôts sauvages sur la voie publique ou en pleine nature.

Ces actes d’incivilité portent non seulement atteinte à la qualité du cadre de vie quotidien de tous les Bessanais, mais donnent également une mauvaise image de la cité.

Pour tenter d’éradiquer durablement ce fléau, la mairie de Bessan vient de dupliquer une récente action de la municipalité agathoise.

En effet, depuis quelques mois, les règles se sont durcies dans toute la commune d’Agde avec le renforcement des moyens pour identifier les dépôts et les contrevenants.

Tout dépôt sur la voie publique est considéré comme un dépôt sauvage et donc totalement interdit avec des contraventions allant de 135 € à 1.500 €. Ainsi, tout déchet dit « encombrant » (électroménager, matelas, mobilier usagé…) est désormais considéré comme un dépôt sauvage.

Désormais à Bessan, la police municipale appose une rubalise spécifique et laisse les déchets à la vue, permettant à tout un chacun de comprendre que le dépôt est considéré comme sauvage et, surtout, qu’une verbalisation est en cours. Mis en place depuis quelques jours, le dispositif porte ses fruits.

La mairie rappelle que le Sictom d’Agde-Pézenas, gestionnaire de la collecte et du traitement des déchets, est aussi disponible pour guider les habitants se posant des questions sur les modalités de tri.

 =>Toutes les infos auprès du Sictom d’Agde-Pézenas au 04 67 98 45 83, de la police municipale au 04 67 77 55 55 ou auprès de l’élu chargé de la vie quotidienne en mairie au 06 22 44 20 90.

Nouveau rendez-vous sur la déportation pour perpétuer le devoir de mémoire

  

Comme le dit le Bessanais Dominique Coll, fils de déporté, « le devoir de mémoire est la pierre angulaire de notre présent et le ciment de notre futur ». C’est dans cet esprit qu’il a proposé à la municipalité de renouveler l’organisation de plusieurs événements à la fois culturels et mémoriels en souvenir de la déportation, triste période de la seconde guerre mondiale.

Si l’an dernier, le premier rendez-vous avait pâti du contexte sanitaire, cette année, le programme a pris une belle dimension. Et Dominique Coll de rajouter : « 77 ans après la libération des camps de concentration, nous devons garder présent cette période que nos manuels d’Histoire classifient, à raison, de contemporaine. Il appartient aux descendants des victimes de cette tragédie de veiller à ce souvenir ».

C’est pourquoi un hommage à la mémoire de tous les hommes, femmes et enfants, victimes de la barbarie nazie se tiendra à compter du 11 avril, et jusqu’au 24 avril, au travers d’une superbe exposition dans la salle des portraits Paul Salvy de la mairie. Le collège Victor Hugo en sera partenaire en continuité d’une récente intervention de Dominique Coll et Monique Ayora dans les classes.

Un goûter littéraire avec les membres de la bibliothèque Renée Petit est aussi envisagé.

A l’issue de l’exposition et de ces différentes initiatives, la cérémonie nationale du souvenir des déportés clôturera la quinzaine.

Elle se tiendra le samedi 23 avril, à 17h, au monument du Souvenir, avenue de la Victoire.

Pour tous renseignements, contacter Dominique Coll au 06 34 42 41 89.

Un exposé scolaire à l’origine d’une rencontre citoyenne avec le maire à l’école

Dans le cadre d’un travail scolaire, Paul et Tiago, deux écoliers de Cm1, se sont proposés de faire un exposé sur le village à leur enseignante Chrystelle Buonomo et à leurs camarades.

Au menu de leurs recherches : le Bessan d’hier, en passant par la vie bessanaise d’aujourd’hui et le Bessan de demain. Et quoi de plus original que d’associer le maire à cette initiative. Aussi, ils ont demandé à leurs parents de solliciter Stéphane Pépin-Bonet afin de savoir s’il acceptait de les recevoir.

Le premier magistrat, dont la proximité avec la population n’est plus à démontrer, y a répondu favorablement et a reçu les deux écoliers en mairie, réagissant avec simplicité aux questions pertinentes des élèves.

Pour le remercier, les écoliers ont invité le maire dans leur classe pour écouter l’exposé final.

Il y a quelques jours, la rencontre a eu lieu et Stéphane Pépin-Bonet comme l’enseignante et les élèves de la classe ont pu découvrir le fruit du travail de recherche et d’inventivité de Paul et Tiago.

En photos et vidéos, ces derniers ont admirablement brossé le passé du village (son histoire, son patrimoine, ses traditions…) mais aussi son futur en y glissant les envies de la jeunesse.

Une rencontre citoyenne qui s’est terminée par un jeu de questions-réponses, enrichissante à la fois pour l’élu et les enfants. Grâce à Paul et Tiago, ce rendez-vous aura une suite, puisque le maire recevra toute la classe en mairie d’ici la fin de l’année scolaire, cette fois-ci dans le cadre d’un travail d’éducation civique.

La Tuque en fleurs a donné un air de printemps à la place de la Promenade

La 2e édition de « Tuque en fleurs » aura marqué les esprits.

Quel plaisir de voir le centre-ville rayonner de fleurs et plantations, regroupant des producteurs horticoles, des artisans créateurs, des commerçants du village, des associations environnementales et des animations avec du maquillage pour enfants et les majorettes de Vias.

Grâce à l’investissement d’Annie Laguna, conseillère municipale déléguée au cadre de vie citoyen, l’événement rayonne et s’ancre dans le paysage des animations locales.

Le temps d’une journée joliment ensoleillée, le cœur du village, principalement la place de la Promenade et ses abords, s’est transformé en un grand marché aux fleurs.

Pépiniéristes, horticulteurs ou adeptes du troc de graines et de plants ont partagé leur savoir-faire. Une grande variété d’arbustes, plantes, fleurs, plants potagers et aromatiques étaient proposés et le grand public ne s’y est pas trompé, venant acquérir les semences de printemps pour enjoliver leur jardin ou leur intérieur.

Nouveauté, une rencontre autour de l’apiculture a été organisée par Philippe Marin sur le thème des abeilles, pollinisateurs et du frelon asiatique.

Inscrit dans le cadre de la sauvegarde des abeilles, ce rendez-vous a séduit des passionnés autour des interventions de Matthieu Martinez, Jacques Guignon, Emmanuel Ruriack et Jacques Fabry.

Cet avant-goût du printemps, pédagogique et convivial, a aussi mis à l’honneur la tuque, emblème local, alliant les traditions à ce rendez-vous pleinement réussi.

L’initiative de végétalisation citoyenne veut prendre racine sur l’exemple sétois

 

Bientôt des rues-jardins à Bessan ? C’est l’ambition de la municipalité avec le lancement d’une initiative alliant la végétalisation du village et la citoyenneté.

Rues comme places publiques sont des lieux partagés au quotidien entre usages et passages, privé et public, riverains et passants. Leur aménagement permanent vise à créer un cadre de vie agréable et convivial.

Dans la plupart des cités, les cœurs historiques ont souvent un caractère très minéral. La pierre ou l’enrobé sont quelquefois même trop présents. Comment aménager les espaces publics pour qu’ils restent agréables en toutes circonstances ? Comment associer les habitants à une démarche de végétalisation ? Ce sont les réflexions actuellement engagées par la municipalité pour végétaliser les quartiers.

Dernièrement, souhaitant s’inspirer d’expériences similaires, les élus municipaux sont allés à la rencontre de l’exemple sétois. Accueilli et guidé par Cédric Licciardi, élu de l’île singulière en charge de la végétalisation participative et des jardins partagés, Stéphane Pépin-Bonet, Marie-Laure Lledos, Annie Laguna et Joël Roux ont pu découvrir des exemples concrets.

Au-delà de la rencontre avec le maire de Sète, François Commeinhes, les élus bessanais ont pu échanger avec des citoyens impliqués dans cette démarche.

Les îlots de verdure ou les plantations en pied de façades poussent aisément grâce à un partenariat entre ville et habitants.

Un guide de la végétalisation citoyenne est en cours de préparation pour prochainement présenter ce dispositif innovant à la population.

La vidéoprotection prochainement renforcée avec une quinzaine de caméras

Depuis son installation en 2012, il y a déjà dix ans, la vidéoprotection demeure un outil de lutte contre la délinquance. Autorisé par les services préfectoraux, le dispositif est piloté par la police municipale, sous l’autorité du maire, dans le cadre de conditions d’utilisation très réglementées.

Un outil qui a notablement contribué à la diminution des cambriolages par exemple.

Actuellement, le réseau est constitué de douze caméras, principalement en centre-ville.

Il nécessite d’être renforcé afin d’étendre son action à de nouveaux espaces publics. Elus et services municipaux, dont Pierre Mora, adjoint au maire, Vincent Ricard, directeur général des services et Yannick Trémoulet, responsable de la police municipale, ont engagé cette réflexion.

Appuyé par la cellule de prévention technique de la gendarmerie nationale, la brigade de gendarmerie de Marseillan et le conseil Hérault Méditerranée de sécurité et de prévention de la délinquance, un projet d’extension du réseau de vidéoprotection a été dernièrement validé par le conseil municipal. Il va permettre d’installer une quinzaine de caméras supplémentaires.

Ce projet d’un montant de près de 100.000 euros nécessite des subventions, lesquelles ont été très récemment sollicitées par le maire auprès des services de l’Etat.

Selon l’évolution du dossier administratif, l’installation des nouvelles caméras, dont certaines permettront la lecture de plaques d’immatriculation de véhicules, devrait intervenir d’ici la fin de l’année.

L’épicentre bessanais des 10e journées Haroun Tazieff autour du volcanisme

    

Après deux années de mise en repos forcé, les journées Haroun Tazieff, en hommage au célèbre vulcanologue, sont de retour et c’est à Bessan que l’épicentre des événements va se dérouler.

Traditionnellement organisées dans l’Hérault par l’association de protection de la nature des hauts-cantons, présidée par Bernard Halleux, elles vont à nouveau fédérer de nombreux partenaires dont le club Lave du collège et de l’école Victor Hugo, la ville et l’agglomération Hérault Méditerranée.

Durant le temps d’une semaine, des ateliers volcaniques à destination des scolaires, des conférences et des balades thématiques vont rythmer l’actualité locale. Au-delà des rendez-vous internes minutieusement préparés pour les collégiens et les écoliers de Bessan mais aussi d’autres communes de l’agglomération, le grand public est aussi invité à y participer grâce à un programme volcanique particulièrement varié et de belle qualité.

D’abord des balades afin de découvrir les richesses volcaniques du centre-ville (samedi 26 mars à 9h au départ de la mairie) et des roches des Mont-Ramus (samedi 26 mars, à 14h, au départ du collège).

Une visite exceptionnelle de la carrière des Roches Bleues par la société Eiffage est également proposée le mercredi 30 mars, au départ du collège à 13h30.

Côté conférences, les amoureux de la géologie ne seront pas en reste avec des rencontres en mairie les 29, 30 et 31 mars, à 18h30.

 => Le programme détaillé est disponible sur le site internet de la ville www.bessan.fr et auprès de Céline Sanchez, adjointe au maire chargée de l’éducation au 06 12 52 92 62.

ABessan immobilier : une entreprise qui fleure bon l’économie locale

L ’entreprise « ABessan immobilier » est née en 2003. Et avec son nom, on comprend qu’elle s’est constituée dans la localité.

Elle s’est rapidement développée et couvre aujourd’hui une bonne partie du territoire français. Ses conseillers sont des professionnels de la transaction immobilière. Ils traitent tous les types de biens : appartements, immeubles, locaux commerciaux, terrains, programmes neufs.

Leur expertise s’étend à la vente de droits au bail et de fonds de commerce.

Professionnels aguerris, ils conseillent et accompagnent tous les publics tout au long de la vente ou de l’achat d’un bien.

Référent sur le secteur de Bessan, du littoral agathois, Montblanc, Béziers ou encore Pézenas, Jean-Marie Cambier est à votre service.

Contact : 06 71 87 08 93 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

Le billet bimestriel de l’équipe Génération Bessan par André Albertos

 

=> Tous les deux mois, un élu de la municipalité bessanaise présente un billet dans le journal d’informations municipales.

Retour sur la dernière contribution d’André Albertos, conseiller municipal et vice-président du Sictom d’Agde-Pézenas parue dans le journal de la tuque.

 

Les incivilités de certains administrés pourrissent la vie du plus grand nombre, notamment en centre-ville. Les sacs d’ordures ménagères ou les encombrants sont souvent déposés n’importe où, donnant du travail supplémentaire au personnel des services publics, quelquefois en effectif réduit à cause de la pandémie. Ce surcroit de travail génère du retard dans l’accomplissement des tâches programmées dans d’autres secteurs.

Avec ce billet, je tiens à remercier les agents de la ville, de l’agglo et du Sictom pour leurs missions, accomplies avec efficacité. En qualité de représentant de notre village au Sictom, j 'ai aussi la lourde tâche, avec le soutien de notre maire, de faciliter la transition de la collecte des déchets entre le système actuel (containers individuels) et les points d’apport volontaire via des colonnes aériennes. Ce nouveau mode de collecte sera opérationnel d’ici la fin de l’année en centre-ville puis, par la suite, dans les autres quartiers.

Outre le fait d’être plus économique, il a l’avantage de ne plus avoir à se soucier des jours de collectes, ni de penser à sortir ou rentrer son container. Une « révolution » que toutes les communes ont à gérer. Enfin, un mot sur la cause animale. Après le décès de notre collègue René Trouillet, j’ai repris cette délégation.

À ce titre, notre village participe, par exemple, à la stérilisation des chats errants avec l’aide de la Fondation 30 Millions d’Amis. Plusieurs campagnes sont organisées en partenariat avec la fourrière animale du Sivom.

Avec toutes ces actions, notre village est propre : agissons pour le conserver longtemps ainsi.

Souvent méconnu, le Pass Culture pour les jeunes favorise l’accès à la culture

Après une expérimentation de deux ans dans plusieurs départements, le Pass Culture est désormais accessible à tous les jeunes de 18 ans, sans condition de ressources, sur tout le territoire français. Ce dispositif gouvernemental est souvent méconnu. Et pourtant, il favorise l’accès à la culture et la diversification des pratiques culturelles.

Concrètement, le Pass Culture est une application à télécharger sur le site suivant : pass.culture.fr.

Grâce à elle, les jeunes disposent de trois-cent euros pendant vingt-quatre mois pour s’offrir des expériences culturelles de proximité mais aussi des offres numériques très prisées par la jeunesse aujourd’hui très « connectée ».

L’éventail des possibilités est conséquent : achat de billets (cinéma, concert, spectacle, théâtre, musée...), de biens culturels (livres, disques, instruments de musique...), de cours de pratiques artistiques ou de services numériques (jeux vidéo, musique en ligne, certaines plateformes de Vod, presse en ligne, ebooks...).

Un choix qui se veut large pour toucher le plus grand nombre.

Les nichoirs du centre de loisirs sont occupés par des volatiles ravis de leurs gîtes

  

Il y a quelques mois, afin de favoriser la vie des oiseaux et des chauves-souris, les Voies navigables de France (Vnf) avaient offert gratuitement des nichoirs et des refuges.

Avec cette opération, Vnf souhaitait associer le grand public à la sauvegarde de la biodiversité.

Ainsi, pas moins de 430 nichoirs et refuges pour chauves-souris avaient été distribués à des habitants volontaires et des collectivités

D’abord proposées aux habitants des communes proches du Canal du Midi, cette opération avait été élargie à d’autres communes de l’Aude, de l’Hérault et de Haute-Garonne, dont Bessan. Sur ces secteurs, les inventaires réalisés par les Vnf montrent que la disparition des platanes entraînait la disparition d’espèces protégées.

Deux nichoirs avaient été posés au centre de loisirs municipal, associant la jeunesse à cette belle opération, obligatoirement jointe à un suivi écologique. En effet, il ne suffit pas que le refuge soit posé. Ce qui compte, c’est de savoir si des animaux vont s’y installer afin de mieux comprendre l’impact de ces habitats artificiels sur les animaux.

Jusqu’à présent, les enfants du centre de loisirs avaient plutôt observé des écureuils mais pas de volatiles ayant niché dans les gîtes.

Le service biodiversité de l’agglomération, lors du nettoyage des nichoirs en lien avec la ville, a constaté qu’ils étaient pourtant bien occupés. Information qui sera intégrée dans l’application de suivi de Vnf.

Au final, des plumes, des coquilles d’œufs… la vie tout simplement !

 

La récente crue du fleuve rappelle l’impact des inondations sur la cité bessanaise

Cela faisait bien longtemps qu’une crue du fleuve Hérault n’avait pas concerné aussi directement le bas du village.

Certes modérée par rapport à d’ancestrales inondations, la sortie de la rivière a impacté les abords du centre-ville et mobilisé de nombreux intervenants, dont les services municipaux.

Les routes de Florensac ou de Marseillan ont été fermées quelques jours à la circulation.

Il faut dire que le week-end de cet épisode méditerranéen aura été intense avec de la pluie en continue, du vent particulièrement violent, le tout au cœur d’une vigilance météo Orange, relayée par les services de la préfecture, appelant à la prudence. Le fleuve, s’il n’est pas vite grossi, a été sujet à des délais importants d’écoulement en raison du vent marin.

Côté mairie, les élus, pompiers et services ont été sur le pont gérant des problématiques de réseaux souterrains ou des arbres tombés sur la voirie.

Par chance, la côte d’alerte du fleuve déclenchant de fait le plan communal de sauvegarde a eu lieu en fin de phénomène, laissant respirer les habitants concernés par les crues dans le centre-ville, lesquels attendent la nouvelle digue de protection, dont le dossier avance.

Réussite pour Bessan Tambourin et son tournoi indoor à la halle de sport

Bessan reste un village fier de ses traditions qu’elles soient du terroir ou folkloriques.

Il en est une, sportive cette fois, qui rythme l’actualité : le jeu de tambourin.

L’As Bessan Tambourin est un des plus anciens clubs de la cité, piloté actuellement par des jeunes passionnés de ce sport souvent méconnu.

Récemment, ce n’est pas en plein air sur le terrain Ernest Coste qu’une sympathique compétition a eu lieu.

En effet, les dirigeants et bénévoles du club, présidé par Kévin Bosc, ont proposé une compétition indoor à la halle départementale de sport Jean-Louis Papin, mise à disposition par la municipalité. Heureusement car le mauvais temps faisait rage en extérieur.

Les équipes des Pennes-Mirabeau (Bouches du Rhône), Poussan, Narbonne (Aude), Teyran et Bessan se sont amicalement affrontées.

Comme à l’habitude, convivialité et fairplay ont conduit l’ensemble des rencontres.

L’ultime finale a été suivie par les sponsors de la compétition et par le maire, Stéphane Pépin-Bonet, venus saluer amicalement les organisateurs et les joueurs.

C’est l’équipe de Poussan qui a remporté le plus de succès dans les différentes catégories, avec le souhait de revenir à nouveau en terres bessanaises.

 

Succès des événements autour de Molière lors d’une journée riche en culture(s)

Le programme proposé en hommage à Molière par la bibliothèque Renée Petit et l’association culturelle du Théâtre Illustré, associées à de nombreux partenaires, a été une réussite.

Malgré un temps maussade mais sans pluie, les amoureux de la culture et du grand Molière, dont on fête les 400 ans de la naissance en 2022, ont été au rendez-vous d’une journée assurément bien remplie.

Le ton était donné dès l’arrivée du public sur la place de la Promenade avec le marché aux livres concocté par Claude Thévenet, avec la présence de deux auteurs bessanais : Chloé Cambier et Michel Parra.

Au sein de la salle des fêtes se sont succédés différents moments culturels dont une conférence de Denis Népipvoda proposant de mieux découvrir Molière, le Languedoc et Pézenas, en lien avec la mairie.

Olivier Cabassut et Alain d’Amato ont rencontré leurs lecteurs lors d’une séance de dédicaces de la bande dessinée « Molière, l’impromptu de Pézenas », événement littéraire de l’année.

Enfin, le Théâtre Illustré a conté sur le thème des héroïnes de Molière, mêlant un hommage aux femmes et à l’auteur.

Au final, le public a partagé ces instants dans une ambiance très conviviale, avec grand intérêt.

L’élection des représentants de la jeunesse annonce l’espoir d’une fête retrouvée


Il y avait beaucoup de monde autour des Amis de l’âne, samedi soir en mairie, lors de l’élection des chefs de jeunesse et des demoiselles d’honneur.

La tradition veut que cette désignation lance le compte à rebours de la fête locale de la Saint-Laurent, en choisissant les représentants des jeunes qui sont le cœur des festivités et de la réfection annuelle de l’âne totem.

Elus, comité des fêtes, amoureux de la fête locale n’ont pas manqué ce rendez-vous qui n’avait pas eu lieu depuis 2019.

En effet, en 2020 et 2021, la fête votive n’avait pas ses mêmes habits en raison du contexte sanitaire.

Les chefs de jeunesse et demoiselles d’honneur sortants ont été félicités à cette occasion, car sans eux et la volonté de la municipalité, la fête, même différente, n’aurait pu avoir lieu.

Ils ont transmis les drapeaux français et occitans, symboles de leurs missions, à la nouvelle équipe composée de Mathieu Bouissou, Léo Corzo, Léane Esteva, Naïs Khattab et Charlotte Khun-Weber.

Comme l’ont dit les élus, tous les Bessanais espèrent le retour de la configuration habituelle de la fête locale en centre-ville.

La situation sanitaire de l’été déterminera les contours de son organisation mais tout le monde était optimiste.

D’ores et déjà, les dates sont connues : la fête locale se tiendra du samedi 6 au mercredi 10 août prochains. L’ensemble des partenaires va désormais se mobiliser pour proposer un programme ambitieux synonyme de renouveau.

Médaille et émotion lors du 60e anniversaire du cessez-le-feu en Algérie

Ils étaient nombreux samedi lors de la traditionnelle cérémonie de commémoration du 19 mars, journée nationale d’hommage aux morts pour la France lors de la guerre d’Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie.

Autour du maire, de la conseillère départementale, de la municipalité et du comité local de la Fnaca, le rendez-vous a pris une dimension toute particulière à l’occasion du 60e anniversaire du cessez-le-feu de cette guerre aux cicatrices encore intenses.

Après un moment symbolique autour de la Fnaca devant la stèle du 19 mars au cœur du lotissement Puech Méjà, la cérémonie officielle s’est tenue au monument du Souvenir, en présence de nombreux porte-drapeaux (de Bessan, Vias, Agde et Marseillan), élus, personnalités et anciens combattants.

Sonnerie aux morts, montée des couleurs, minute de silence et dépôt de gerbes ont rythmé ce rendez-vous mis en musique par les musiciens du groupe des sapeurs-pompiers de l’Hérault.

Au-delà des interventions rappelant les événements douloureux du passé, un recueillement particulier a été respecté en mémoire de Léonce Estournet, unique Bessanais tombé lors de ces tragiques combats.

A l’issue de la cérémonie et avant le verre de l’amitié partagé au sein de la salle Raymond Devos, une remise de médaille a distingué José Pradal, lequel a reçu la reconnaissance de la nation.

L’aubade finale de la fanfare a clôturé ce 60e anniversaire, non sans émotion.