La vidéoprotection prochainement renforcée avec une quinzaine de caméras
Depuis son installation en 2012, il y a déjà dix ans, la vidéoprotection demeure un outil de lutte contre la délinquance. Autorisé par les services préfectoraux, le dispositif est piloté par la police municipale, sous l’autorité du maire, dans le cadre de conditions d’utilisation très réglementées.
Un outil qui a notablement contribué à la diminution des cambriolages par exemple.
Actuellement, le réseau est constitué de douze caméras, principalement en centre-ville.
Il nécessite d’être renforcé afin d’étendre son action à de nouveaux espaces publics. Elus et services municipaux, dont Pierre Mora, adjoint au maire, Vincent Ricard, directeur général des services et Yannick Trémoulet, responsable de la police municipale, ont engagé cette réflexion.
Appuyé par la cellule de prévention technique de la gendarmerie nationale, la brigade de gendarmerie de Marseillan et le conseil Hérault Méditerranée de sécurité et de prévention de la délinquance, un projet d’extension du réseau de vidéoprotection a été dernièrement validé par le conseil municipal. Il va permettre d’installer une quinzaine de caméras supplémentaires.
Ce projet d’un montant de près de 100.000 euros nécessite des subventions, lesquelles ont été très récemment sollicitées par le maire auprès des services de l’Etat.
Selon l’évolution du dossier administratif, l’installation des nouvelles caméras, dont certaines permettront la lecture de plaques d’immatriculation de véhicules, devrait intervenir d’ici la fin de l’année.